Après la nuit
Benoit Landry et Nord Nord Est - Canada - Québec

Dates
Du 5 au 16 juillet à 19h30
Rencontres avec le public
Jeudi 7 juillet à 19h30
Mardi 12 juillet à 19h30
Mercredi 13 juillet à 19h30
Jeudi 14 juillet à 19h30
Tarifs
Régulier : 37 $
Enfant : 29,60 $
Retournons à la lumière !
Alliant la musique live, l’acrobatie et la danse, Après la nuit est un rêve éveillé, un voyage empreint de liberté et d’un fougueux élan de vie.
Les spectateurs, disposés en cercle, sont plongés au coeur d’une TOHU complètement transformée pour l’occasion. Au centre se trouvent trois musiciens, alors qu’autour et au-dessus d’eux se déploient des images acrobatiques et chorégraphiques saisissantes.
Créé par la compagnie Nord Nord Est sous la direction de Benoit Landry (Serge Fiori - Seul ensemble du Cirque Éloize), à l’invitation de la TOHU, le spectacle met en vedette le groupe CHANCES, trio montréalais d’une grande puissance aux sonorités empruntant à la pop, à l’électro et à la musique du monde. Il réunit une distribution exceptionnelle d’une douzaine d’acrobates et danseurs qui s’emparent de la TOHU dans toute sa hauteur, donnant la part belle aux acrobaties aériennes.
Un événement unique, une véritable cérémonie du retour à la lumière!

Comédien, musicien, chanteur, directeur artistique et metteur en scène, Benoit Landry nous en met plein la vue et les oreilles avec cet époustouflant spectacle multidisciplinaire. « Il est question du rêve, notre plus grande force créatrice. Le rêve, l’imaginaire, la poésie seront au cœur de notre résistance en tant qu’humanité. Dans Après la nuit, on parle de ce qui nous unit, de ce que nous avons en commun, du désir de vivre, de notre besoin d’être en contact les uns avec les autres. La salle circulaire crée un sentiment de communion. Elle amène une dimension sacrée. » ajoute-t-il.
« (…) un songe éveillé, revigorant et gracieux. »
« Tous nos sens sont sollicités par les nombreuses actions au sol et dans les airs. »
« (…) un spectacle plein de vigueur et d’optimisme qui nous permet de rêver un peu après deux ans de crise pandémique. »
- Mario Cloutier, La Presse